J'ai les neurones qui souffrent.
Passer le jeudi soir à quatre chez un pote dans une atmosphère "il y a trop de redites mordantes dans cette soirée". Etre fatiguée. Ressortir le vendredi soir au Conné pour se taper un mètre de Shazz et finir encore à quatre cops dans les rues d'Albi. Une fonfon, ma cops et un couple. Se demander pourquoi certaines fois on est complètement tarée, à sauter gaiement dans les rues, à rire de bonne foi, et d'autres à traîner à cause d'un pathétique mal-être.
Samedi: avalage de connaissances, façon 'Je gave une oie'. Et aujourd'hui, se dire qu'on préfèrerait torcher le cul de Saddam Hussein plutôt que de revivre ces neuf heures de travail non-stop. Pause. Joie.
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2 commentaires:
Tiens,c'est bizarre ça,je connaissais pas ce synonyme de joie,alors comme ça on dit:"fonfon"...comme ainsi font font font,les marionnettes de l'alcool?
Tu t'es mis à la page, I'm proud of you. Ainsi fon fon fon trois p'tits tours et puis s'en vont...
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