lundi 20 octobre 2008

Ce qui importe

Ca y est, me voilà détentrice de ma place pour le FURIA de vendredi soir.
Il y a un an et demi, je définissais Toulouse par le Capitole, les bars, le Zenith, le Cri de la Mouette, les ruelles sombres et la piole étudiante d'Ingrid, ma biche d'Aix. Voilà que maintenant, je redécouvre cette ville grâce à Pauline et aux concerts qu'on se programme ^^

Dans un an, c'est moi qui inviterai des potes à venir. Dans un an, je compte faire des pieds et des mains pour bosser dans la Musique. Faire un stage dans une maison de disque, bosser pour un label, ou (parce que ça se fait pas comme ça) gravir les échelons comme on dit, faire de la manutention, décharger les amplis, installer le matos, tout ce qui pourrait me rapprocher progressivement d'un travail concret... Mouais mouais je vous vois venir, me casser pas (les couilles), correction, mes rêves. Pour l'instant, je cherche...
Mais j'ai déjà trouvé ce que je veux faire (ok grosso modo). C'est tout ce qui m'importe.

Un peu de Pub pour Lambda:

http://www.myspace.com/lambdamusic

samedi 18 octobre 2008

Parfois tout moi, parfois tout mur.

Ok, cette ambivalence est complètement foireuse.

samedi 11 octobre 2008

Pouponnez vos oreilles!

Mary Slut.

"Reflet d'une"

...

Zero absolu

"Je suis une île Feat MiLKa".
http://www.myspace.com/zeroabsolu

Une claque à prendre les mauvais jours. Une claque qui t'envoie ailleurs, quand t'en as besoin, ou pas.

...

Belladone.

J'avais pas écouté depuis l'année dernière, complètement zappé que ce groupe existait, honte à moi.
http://www.belladone.net/

Bonne écoute!

jeudi 9 octobre 2008

Quand la faim s'ajoute à l'insomnie...

...le sommeil ne passe plus.
Il n'y a qu'un pas, un couloir, une pièce, et pourtant refuser cet ordre. Quand on mange moins l'estomac grogne, quand on mange moins on se prend à dévorer des rêves en pagaille, on se prend à gratter dame guitare plus que de raison, on ouvre de nouvelles portes pour en refermer d'autres. L'appel de la faim, connerie. Des bienfaits ont pointé leur nez. Je rêve à la pelle (certes, comme tout le monde)à la différence que je me rappelle de mes délires oniriques au petit matin, me prends des claques en prenant conscience des préoccupations de ma gluante cervelle mais sourire tant c'est logique. Elle a tout bon la guimauve, je pige davantage de moi-même maintenant.
Je trépigne sur place à vouloir tant de choses à la fois. Jouer de la gratte, chanter, jouer des morceaux sur la basse du pote à mon frère, et aimer ça de plus en plus. Envie de consacrer encore et encore plus de temps à la musique, de m'investir partout, d'apprendre à jouer d'un nouvel instrument, de jouer sur la batterie installée dans mon garage pour les répèts du groupe, d'y jouer alors que je n'y touche jamais. Envie de trop, envie de tout et le sommeil ne retrouve plus sa route. Jogger tous les jours, métal aux oreilles. Je maigris. J'ai peur des photos, je hais les magasins, je hais mes jeans qui flottent. En racheter, anti-problème, il y a pire sur Terre.
Envie d'allumer l'ampli, de jouer de la basse, de hurler au micro, de jouer du synthé, de continuer à apprendre Comptine d'un autre été, de jouer 'Happy' de Mudvayne simultanément avec le CD. Envie de me niquer les doigts, les chevilles et les oreilles. J'ai faim de tout et de rien, cette simple envie au fond des tripes. Cette vieille amie que la musique, faim et montre en main, demain 10h00 je file chez Music Center m'acheter de nouvelles cordes. Après la répèt d'aujourd'hui il est temps de les changer.







Mercredi 15: au Bikini, Sidilarsen, Naïve, La Phaze, Cosmic Connexion, Fryzzzer.
Jeudi 16: au Bolegason, Sidilarsen.
Samedi 18: KKC Orchestra, Le Rang du fond.

mercredi 8 octobre 2008

"Le jardin du bossu", Franz Bartelt

Ce mec est foutrement bon. Dans ce roman, il nous balance en cascades un humour potache très sympathique, l'idéal pour rire de tout et de rien, pour apprécier les anti-héros, les gros loosers aux problèmes terre à terre et les bonhommes dévoués à mémène. Eh oui, ça change des héros sans peur ni reproche, rraa ça fait un bien fou. Comme ça fait plus d'un an que je l'ai découvert et que je m'apprête à le relire une nouvelle fois, il est temps d'en parler.

Messire Franz Bartelt:

D'origine polonaise, la famille Bartelt s'installe dans les Ardennes. Le jeune Franz y apprend à lire avec les romans policiers que dévore sa mère, et commence à écrire à l'âge de treize ans. Un an plus tard il quitte l'école et gagne sa vie en enchaînant les petits boulots. A dix-neuf ans, il entre dans une usine de transformation de papier, un autre lieu symbolique pour l'écrivain qu'il est en passe de devenir. En 1980, il s'installe dans la vallée de la Goutelle, près de Charleville-Mézières, et se consacre à l'écriture. Pendant cinq ans de labeur au rythme des trois-huit, il aligne deux volumes par an sans se soucier de se faire publier. C'est à partir de 1985 qu'il fait de l'écriture son unique moyen de subsistance. Poète, nouvelliste, dramaturge et feuilletoniste, il donne également huit pièces de théâtre à France Culture et des chroniques estivales à L'Ardennais. A partir de 1995, il connaît la consécration avec la publication de ses romans, tous applaudis par la critique et certains sélectionnés pour les prix littéraires, (' Les Fiancés du paradis', 'La Chasse au grand singe', 'Le Costume', 'Les Bottes rouges', 'Le Grand Bercail' et 'Terrine Rimbaud').

-Septembre 2004: "Le jardin du bossu". C'est la grande poilade!


Et puisque que je suis dans mon quart d'heure louanges, "Une nuit pour sept jours" le nouvel album de Sidilarsen est, il faut le dire, bluffant. Amis, ça va chauffer au Bikini mercredi. D'ailleurs, le groupe repasse au Bolegason le lendemain ^^